On s’est tous un jour ou l’autre trémoussés sur le tube « Wannabe » des Spice Girls (allez avouez !). Les rumeurs de transfert de David Beckham à Paris remettent sa célèbre épouse sur le devant de la scène (encore plus devant que devant). Il faut avouer, et ce sera sans stupéfaction, que Victoria Beckham rétrocède un véritable malaise physique. Pas d’incrimination ! Il est fort controversable que beaucoup envient de ce corps décharné plus proche du stade pré-pubère que celui d’une vraie femme.
Inutile de faire à nouveau étalage de toute l’escarmouche autour des célébrités maigres (continuellement ou sporadiquement), des mannequins et autres assimilés, car Victoria, elle, semble se prévaloir d’avoir atteint la « norme » instituée au sein même du monde de la mode. Au-dessus d’une gente féminine qui a, majoritairement, au moins une fois envisagé de perdre du poids, Victoria a gagné. On se demande bien comment elle a fait pour atteindre le poids « idéal ». Peut être trop de sport ? Ou un régime draconien ? Ou les deux à la fois. Je la vois bien porter des chaussures Easytone pour maigrir et non ses escarpins plus que magnifiques.
En outre, le public est bien las de ses zygomatiques en hibernation fréquente et de cette minauderie buccale qui n’a rien de naturel. Un gâchis, car la dame Beckham a un visage qui dégage un certain charme.
Enfin, on grincera des dents à s’imaginer comment le chirurgien esthétique ait pu glisser ses énormes prothèses mammaires sans craquer cette délicate peau, déformée par l’ossature apparente.
Allez Mrs. Beckham, souris et préfère un bon poulet basquais à ta demi-pomme journalière !
